(Editions Dargaud, 133 pages, 2016) |
Le 7 janvier 2015, elle arrive en retard à la rédaction. C'est ce qui la sauve du massacre.
Depuis, elle essaie de retrouver un semblant de vie et surtout une légèreté dans le quotidien.
Comment faire avec des gardes du corps en permanence avec elle pour la protéger?
Comment faire avec d'autres événements tragiques qui ravivent les souvenirs?
Comment faire avec toutes ces images ?
Elle appelle ses amis décédés au secours. Elle cherche un second souffle dans la beauté.
Elle se réfugie à Rome dans la villa Médicis.
Malgré les œuvres d'art autour d'elle, ses pensées reviennent toujours vers la tragédie...
Les statues amputées, les peintures de massacres, les gens à la dérive,...
Ce récit est poignant !
Les illustrations nous entraînent dans le cheminement de Catherine Meurisse.
Elles nous retranscrivent du mieux possible son état d'esprit et sa quête de beauté et de légèreté.
A lire absolument pour se souvenir !
C'est ma participation aux rendez-vous BD du mercredi.
On se retrouve chez Stéphie.
Ca a l'air tellement poignant... le dessin est si doux.
RépondreSupprimerTu as tout à fait raison :)
SupprimerLu et bien aimé. Malheureusement, je dois avouer qu'aujourd'hui il ne m'en reste pas grand chose...
RépondreSupprimerIl ne te reste plus qu'à la relire ;)
SupprimerJ'avais apprécié ce témoignage. On y voit toutes les contradictions et toute la fragilité de Meurisse suite au traumatisme qu'elle a vécu
RépondreSupprimerFragilité, émotions, peur,...
SupprimerJ'ai souvent vu cette couverture sans vraiment savoir de quoi il en retournait. Tu viens de me donner envie de la lire ! C'est noté ;)
RépondreSupprimerMoment fort à venir alors :)
SupprimerJ'avais lu celle d'un autre dessinateur (dont le nom m'échappe là tout de suite) mais je m'intéresserai à celle-ci c'est certain, j'avais déjà vu cette couverture...
RépondreSupprimerCouverture calme et tempête intérieure cependant...
SupprimerJ'espère que cette BD croisera mon chemin
RépondreSupprimerJe te le souhaite :)
SupprimerJ'imagine à quel point la réalisation de cet album a dû être compliquée...
RépondreSupprimerJe le pense aussi. Un peu un journal intime ...
SupprimerLu et aimé. Mais pas encore chroniqué.
RépondreSupprimerUn titre qui me fait très envie !
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